I'm writing in the rain ~

Début de la journée, le ciel pleur... Comment ça "chut" !? Plus le droit d'être poétique ou quoi ? Bon, alors, OUI, il pleut, mais j'en ai marre des arrivées où il fait toujours supra-ultima beau, alors va pour la pluie (m'enfin, j'ai déjà fait des arrivées sous la neige, mais vu la réaction du personnage, j'évite... Et je ne voudrais pas non plus que Kisa se fasse assommer par des grêlons ou foudroyée sur place dès son premier post !). Manque de bol pour la petite fille, elle était sortie sans parapluie et il lui eût plus plut qu'il plut plus tôt #SHBAM# Pas d'imperméable non plus, disons qu'elle en avait un, mais il était tout au fond de sa grosse valise brune, alors elle avait "un peu" la flemme de le sortir. Quoiqu'il en soit, la pluie ne la dérangeait pas trop, en plus il faisait chaud, ça la rafraîchissait... Peut-être un peu trop. Sans prévenir, une averse survint brutalement.

*Je vois que c'est vrai ce qu'on dit sur toi, t'as tendance à refouler toutes ta psychose sur tes personnages...*

Mouahaha, et t'as encore rien vu =3 ... Mais, qui te l'a dit !? Bordel, je parie que c'est Miwa et Rémy... Ceux-la je vais pas les rater... Mais bref, mais bref, avançons un peu. Notre petite fille, qui portait une simple robe à bretelles fines et à sandales parce que quand elle était partie il faisait super chaud et pas humide du tout, dût aller se mettre à l'abri dans... Sous les arbres de la forêt, qui ne filtraient pratiquement rien, parce qu'elle avait déjà passé la ville depuis un bon bout de temps.

*Et allez savoir ce qui passe dans la tête d'un admin pour aller foutre leur lieu principal de RP dans un bled paumé... Je suis décidément pas gâtée*

Ne te plains pas, j'ai des personnages qui se retrouvent dans des endroits pires encore, dont je tairais le nom pour ne froisser personne... Et puis ouais, mais, bon, on y peut rien, je ne suis qu'un humble membre qu'est principalement venu au départ pour tenir compagnie à l'admin graphique.

*C'était pas aussi pour la race des démons ?*

Euh... si, un peu. Enfin bref... Ah oui, la pluie. Or donc, Kisa atteint finalement la pension dans le "bled paumé" et voulu ouvrir la porte... Mais elle était trop petite...

*Quoi !? Je dois ENCORE poireauter sous la pluie !?*

Et ouais, mais ça fera un sujet de conversation avec le premier qui se pointe... Mufufu...

Messages : 7 Date d'inscription : 16/05/2009

iria marchait sous la pluie fine en direction de la pension elle en voulait encore a son père .un puissant démon de feu qui lui avait ordonner de se meler au humain pour mieux les comprendres et ne pas tous les haïr comme elle le faisait jusqu'à maintenant. iria les destaient tous elle les trouvait faible et fragile pour en avoir briser plus d'un dans sa jeunesse.
la pluie tombait de plus en plus les écalires zèbrait le ciel noire ténébreux.
iria arriva près d'un panneau ou il y avait marquer "bienvenue a la pension"
la jeune fille demon soupira car elle était arriver la ou elle devrais coabiter avec des humains et toujours sous sa forme humain . iria se regarda dans un flaque d'eau et pensa* il y a au moin une chose de positive en étant sous cette forme elle pourrais faire chanter les garçons humains avant de les faire souffir. iria arriva devant un grand porte close au début elle ne vit pas l'humaine qui était tout tremper devant la porte . la jeune fille tandis un doigt et le posa sur la lourde porte et poussa .la porte s'ouvrit d'un coup. iria remarqua a ces pieds une humaine et les paroles de sa mère lui revint en mémoire qui lui disait " tu as le droit de faire ce que tu veux des garçons mais si tu croise des filles tu dois être gentille avec elle" iria souria a la jeune fille et lui dit
"bonjour mademoiselle vous aussi vous venez étudier ici ?"

[Kisa-chan n'est pas humaine, c'est un démon aussi ^^]

Comme à mon habitude, j'errai dehors, sans but précis. Je rôdais autour de cet immense château, la tête vide. Mon esprit voulait se perdre une nouvelle fois dans mes pensées mais étrangement, ça me paraissait plus difficle que d'habitude. J'étais pieds nus, dans les graviers, mais je n'avais pas mal. J'avais tellement souffert que plus rien ne pourrait me faire mal... Enfin, j'étais sûre que ça aurait été le cas si j'avais encore été humaine. Il pleuvait des cordes mais je ne sentais pas la pluie sur mon corps. Je regardais mes longs cheveux, ils n'étaient pas mouillés. Voilà qui serait embarassant si j'étais amenée à rencontrer quelqu'un. Je décidai donc de me les raccourcir. Depuis que je n'étais plus « vivante » j'avais certaines capacités qu'aucun humain pouvait avoir. Je pouvais modifier quelque peu mon apparence. Je prenais donc mes longs cheveux blancs dans mes mains et fermai les yeux. Quand je les relâchai, ils m'arrivaient aux épaules. La sensation de n'être jamais mouillée, de n'avoir jamais froid, de n'être jamais fatiguée... était étrange mais au fil des années je m'y étais habituée. Je regardai ma robe. C'était ce qui était le moins fantômatique dans mon apparence. Elle était légèrement mouillée. Je ne pouvais pas sentir si c'était le cas ou non mais des tâches d'humidité le prouvaient. Tant mieux. Elle attirerait moins l'attention, si quelqu'un me voyait. Je soupirai, que le temps semblait long et ennuyeux... Je n'avais aucune idée de quelle heure était-il, j'étais complètement perdue dans le temps. Je ne savais même plus quel âge j'avais.
Je ne savais pas tellement où mes pas me dirigeaient mais je décidai de les suivre. Après tout, il ne fallait pas résister à son Destin (Le retour du Destin XD). Quelques minutes je me retrouvais près de la grande porte du chateau. Je remarquai deux silhouettes devant la porte. Une plus grande que l'autre. La porte était grande ouverte mais personne ne rentrait. Peut-être que ces personnes discutaient. Comme j'aurai aimé pouvoir discuter avec elles, me faire de nouveaux amis. Mais je ne pouvais pas... J'avais été vouée au silence. Si jamais je révélais ma « race » ou bien pire encore... qui sait ce qui pourrait arriver ? Et puis si jamais une des deux glissaient et me tombait dessus, quelle sera sa réaction quand elle s'appercevrait qu'elle s'était cognée sur le sol ? Bon c'est vrai que parfois je pouvais me rendre opaque, qu'on pouvait me toucher, mais je devais utiliser une grande force mentale et c'était vraiment très très dur comme exercice. En plus ça ne marchait pas très bien. C'était presque aussi dur que de posséder les gens. Je n'étais qu'un petit fantôme, je n'avais pas tous les dons des grands fantômes. Je pouvais juste faire quelques trucs comme me rendre presque entièrement invisible. Ou changer un petit peu mon apparence. Rien de bien utile, c'est vrai...
Bref, j'aurai aimé rentrée, j'en avais marre de traîner dehors. Mais comment passer, sans se faire remarquer ? Je m'approchai doucement, je remarquai qu'il s'agissait de deux filles. Je me cachai derrière les arbres, tout en m'approchant. Puis, une fois que j'étais à proximités de ces deux inconnues, je restai cachée. Je ne pouvais pas aller leur parler. Mais je pouvais les observer. D'ailleurs, j'aimais bien observer les gens, leur attitude. J'adorais faire ça.

[Désolée pour ce message qui ne vous fera pas avancer dans le RP, mais c'est mon personnage qui veut ça XD]

Un jeune fille au cheveux rouges rejoignit la petite fille. Elle était belle, mais aux yeux de la gamine, c'est à peine si elle s'en rendait compte. Tout au plus lui paraissait la pensée "elle est mignonne, c'est cool pour elle" : pas la moindre jalousie, pas la moindre fausse idée reçue au vu de sa tenue, etc... Vraiment, Difficile de trouver des défauts à Kisa, logique quand on a pas eu le temps d'être souillé par ce monde. L'inconnue lui sourit, elle avait l'air plutôt sympa (ma pauvre, si tu savais ! xD). La petite prof ne fit même pas attention à sa race, pour elle cela n'avait strictement aucune importance, même si, en tant que démone, elle avait en avait souvent payé le prix. La rouquine lui posa également une question, à laquelle Kisa répondit librement, comme si ce qu'elle disait été complètement banal :

- Non, je serais votre professeur à partir d'aujourd'hui. Enchantée de faire votre connaissance !

Elle enchaîna d'une petite courbette de politesse joyeuse, tout en réfléchissant à si elle n'avait pas fait d'erreur. Non, elle avait bien employé le vouvoiement de politesse, parfait. En relevant la tête, il lui sembla apercevoir quelque chose de blanc, d'un blanc vraiment très clair et pur, du coin de l'œil. Curieuse et surprise, la petite sursauta et se retourna immédiatement pour voir ce dont il s'agissait... Mais rien. Peut-être avait-elle mal vu ? Ou alors quelqu'un jouait à cache-cache. Ça l'intriguait cette histoire. Mais son devoir la rappela à l'ordre, un peu distraite, elle refit face à sa première interlocutrice, sans pour autant perdre à l'esprit ce qui étonnait son petit cerveau de génie.

* J'étais sûre d'avoir vu quelque chose.. En général, même avec une mauvaise vue, rien ne force le regard à percevoir quelque chose de si blanc du coin de l'œil... *

Je les écoutai sans bouger, elles semblaient faire connaissance. C'est alors que les yeux de la plus petite des deux se tournèrent vers moi. Je me précipitai derrière l'arbre et attendis. Je n'entendis aucune réaction de la part de la fille aux cheveux roses, elle ne m'avait peut-être pas vue. Toutefois, par précaution, je préférai changer de cachette. Pour que mes pas ne se fassent pas entendre, je me mets à flotter dans les airs, à une dizaine de centimètres du sol. Je me réfugiai derrière de petits buissons et levai la tête pour observer les deux jeunes filles. Aucune ne me regardait. Rassurée, je m'assis en tailleur et les regardai de loin. Puis, j'entendis des bruissements à côté de moi et détournai le regard. Une araignée se baladait près de ma main. Lorsque j'étais humaine j'avais horreur de ces bêtes velues et dès que j'en voyais une je ne pouvais m'empêcher de l'écraser en criant. Maintenant elles ne me faisaient plus aucun effet. A présent elle ne pouvait plus rien contre moi, elles ne pouvaient plus me grimper sur les bras, me piquer dans la nuit. Elles étaient seulement capable de me voir, contrairement aux humains. Au moins elles me tenaient compagnie. Elle tenta de grimper sur ma main mais elle me traversa et retomba sur ses pattes. Puis, elle passa à travers mes jambes et continua sa route de l'autre côté de mon corps, comme si je n'avais pas existé. Avec un petit soupir, je m'allongeai doucement dans l'herbe mouillée, en oubliant presque les deux filles devant le bâtiment. Même si la pluie tombait toujours, je restai dans cette position, parfaitement tranquille, comme si le soleil avait éclairé le ciel. Voilà au moins un avantage à être fantôme : le temps ne nous dérange pas. La pluie recouvrait le sol, passant à travers mon corps blanc comme... comme si je n'avais pas existé. Le vent secouait les brins d'herbe qui chatouillaient mon dos, sans le savoir, comme si je n'avais pas existé. Les minuscules insectes passaient sur mes cheveux comme si je n'avais pas existé. Le monde tournait parfaitement avec ou sans moi. Alors pourquoi rester ? Pourquoi étais-je coincée ici ? Les brins d'herbes continuaient à s'agiter contre mon corps et bien qu'ils ne me sentaient pas, moi je les sentaient me chatouiller. Finalement, je lâchai un petit rire face à cette caresse titillante. Mais je me souvins alors de la présence des deux autres. Je me rasseyai précipitament et je plaquai mes mains sur ma bouche. M'avaient-elles entendu ?

Son élève n'avait pas l'air d'aller bien, sans doute perdue dans ses pensées en apprenant que son professeur était aussi jeune. Kisa était habituée à ce genre de réactions, cela ne lui faisait plus rien. Tout lui allait, tant qu'elle n'avait pas affaire à des collégiens... C'est alors qu'elle perçut un bruit infime, mais bien présent, en direction de l'endroit où elle avait vu cette "chose" blanche.

- Une minute.

Lança t-elle a l'intention de la jeune rousse. La petite fille se dirigea lentement vers l'endroit où portaient ses soupçons, pour ne pas effrayer à nouveau cette "chose", si elle était vivante. Certes, Lilami Storm n'est pas vivante me direz-vous, mais ça compte pour, vu qu'elle peut bouger et penser.

- Boo !

C'est stupide d'enchaîner avec ça quand on ne veut pas faire peur, mais elle n'avait pas pu s'en empêcher.

[ Alléluia, enfin je peux reprendre Kisa !!! Bon, à toi de voir si Lila a eut le temps de se cacher ou pas Razz

Et Iria, si tu reviens, le rp t'es encore grand ouvert, en attendant va falloir continuer sans toi... (Et oui, c'est ça les rps à plusieurs quand l'un ne s'est pas repointé depuis 7 mois ^^") ]

Je regardai vers la porte d'entrée du pensionnat. La petite fille n'était plus là. Oh non ! Aurait-elle été attirée par mon rire ? Oui, c'était sûrement ça, elle ne devait plus être très loin maintenant. Paniquée j'utilisai toutes mes forces pour me rendre invisible. Quelques secondes après, une voix fluette cria "Boo !" Normalement elle ne m'avait pas vue, ce qui me rassura. Le problème était que j'avais du mal à me rendre invisible trop longtemps. Je me concentrai de toutes mes forces, immobile dans l'herbe, attendant que cet enfant aux cheveux roses s'en aille. Mais elle ne partait pas. Alors c'était à moi de partir. Cependant, je ne savais pas vraiment comment m'y prendre. Si je m'en allais en marchant, je risquerai de faire du bruit. La petite fille pourrait croire à l'effet du vent mais je préférai ne pas prendre de risques. Je pouvais toujours flotter... Oui, je n'avais qu'à m'envoler au-dessus du buisson et lorsque je serai suffisement loin je pourrai m'enfuir en courant. Invisibilité et lévitation, les deux à la fois, c'était assez compliqué. Me concentrant davantage, mes pieds décolèrent du sol. D'un effort supplémentaire, je volai d'une trentaine de centimètre plus haut. Je reculai alors, toujours dans les airs, et passai au-dessus du buisson, sans un bruit. Malheureusement, mes forces semblèrent s'évaporer. Je redevins visible et m'écraser dans le buisson. Par réflexe, j'émis un petit :

« Ouille. »

Ce n'était que par réflexe parce qu'étant un fantôme, j'avais traversé le buisson et n'avais rien sentis lorsque j'eus heurté la terre. Le plus grave c'était surtout que je m'étais faite remarqué. Même si en ce moment, étant "coincée" entre les branches du buisson, celui-ci me cachait, j'étais certaine que la petite fille m'avait vue tomber. Et elle m'avait donc certainement vue sortir de nulle part, apparaître d'un seul coup. J'étais démasquée. Oh là là là là quelle horreur ! Pourquoi est-ce qu'en ce moment tout le monde me découvrait ? Pourquoi étais-je si peu discrète ? Pourquoi ne m'enfermais-je jamais dans ma chambre comme une damnée ? Pourquoi n'étais-je pas morte ?!!!
Avec un peu de chance, la fillette n'était pas une humaine. En tout cas, ce n'était pas en restant dans ce buisson que j'allais le savoir. Maintenant que je m'étais faite remarquer, je n'avais plus rien à perdre. Malgré les branches fines et tordues à l'intérieur de la boule feuillue, je m'en extirpai sans difficulté. Et je n'avais bien sûr aucun égratinure, aucune feuille sur les vêtements, rien. Le regard que me lançait la fillette m'étonna. Elle semblait... mature ? Quoiqu'il en soit, je l'observai sans discrétion. Etait-ce des cornes que je voyais sur sa tête ? Si c'était bien le cas, il s'agissait alors d'un démon. Rassurée, je m'inclinai légèrement puis me présentai poliment :

« Lilami, enchantée. »